dimanche 17 avril 2011

Billet 5 , module 13 :Au nom de la liberté, doit-on tout permettre sur l’Internet? Quelles sont les limites acceptables? Comment établir des limites qui aillent au-delà d’une morale trop ancrée dans une époque particulière?

Internet est un univers immensément grand. Grâce au nouveau moyen technologique, internet est accessible partout et en tout temps. Nous vivons à l’ère du voyeurisme, de l’exhibitionnisme, avec les comptes facebook, twitters, blogues,etc... Les gens livrent leurs vies privées sur ses réseaux sociaux sans aucune retenue.Selon le site cyberpresse, « Fort de plus de 400 millions d'utilisateurs dans le monde après six ans d'existence, le site gratuit de socialisation sur internet Facebook se voit accuser de compromettre la vie privée de ses utilisateurs pour gagner de l'argent» (Agence France Presse, 2010 ; En Ligne)

Le phénomène de géolocalisation est aussi un bon exemple de violation de vie privée.  Qui ne sait jamais check-in sur facebook pour dire à ses amis a quel endroit il se trouvait. Qui n’a jamais utilisé Google streetview afin d’avoir une vue sur un immeuble, une maison, un terrain, une rue. Le site Wikipédia dit ceci à propos de Google streetview, «Google Street View est un service lancé en mai 2007 afin de compléter Google Maps et Google Earth. Il permet de naviguer virtuellement dans les rues de grandes villes. Controversé en raison d'atteintes alléguées envers la vie privée, le projet utilise Immersive Media, technologie qui permet de fournir une vue de la rue à 360 degrés en n’importe quel point donné de cette rue. » ( Wikipédia,2010 ; En Ligne) Est-ce que c’est le genre de liberté qu’on veut permettre sur internet. Est-ce qu’on est rendu à ce point en manque de voyeurisme et d’exhibition?

La question qui reste à voir est, pourquoi le CRTC qui est si présent pour contrôler le contenue des radios et de la télévision n’intervient pas quand il est question du contenu d’internet. Depuis un jugement rendu en 1999, le CRTC a décidé de ne pas réglementer internet tant pour son contenu que pour sa tarification.

Les limites de l’acceptable ont été franchies, il y a malheureusement fort longtemps. Le contenue qu’on peut parfois trouver est a lever le cœur. Combien de fois voit-on au téléjournal ou lit-on dans les journaux qu’un individu fut arrêté en possession de matériel de pornographie juvénile et qui en faisaient le trafic sur le net.  Des cyber-prédateurs il y en a depuis toujours et malgré toutes les démarches qui sont entreprises pour contrer ce fléau, je crois qu’internet est un univers immensément trop grand et il est très difficile de le contrôler. Selon Alvin Schrader, Les technologies de filtrage et de classification des sites Internet sont en soi inopérantes. Ce n'est pas une question de technologie encore limitée. Le problème est intrinsèque aux diverses ambiguïtés que soulèvent texte et langage, point de vue du lecteur, et méthodes de filtrage et de blocage. La difficulté d'identifier et de décrire des contenus Internet à des fins de classement et d'interdit est insurmontable : nouveaux sites, nouveaux termes, nouveaux enjeux, cacophonie planétaire des langages, interprétations diverses, perceptions différentes de ce qui est offensant ou approprié à tel ou tel âge et diversité des normes d'une culture à l'autre en font une entreprise vouée à l'échec. » ( Schrader, 1999 ; En Ligne)

En conclusion internet est tellement vaste et est tellement dure à contrôler que les gens sont libres de faire ce que bon leur semble, car il n’y a pas de règles, n’y de police dans le monde virtuel. Quand le chat n’est pas là, les souris dansent.

Bibliographie:

Agence France-Presse.2010. «Facebook accusé de divulguer la vie privée des internautes pour des dollars».  Cyberpresse[En ligne]. URL : http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201005/06/01-4277671-facebook-accuse-de-divulguer-la-vie-privee-des-internautes-pour-des-dollars.php. Consulté le 16 avril 2011

 

Schrader, Alvin.1999.« Faut-il censurer internet ?». Réseau éducation média. [En ligne]. URL : http://www.media-awareness.ca/francais/ressources/projets_speciaux/toile_ressources/faut_il_censurer_net.cfm. Consulté le 16 avril 2011

Wikipédia.
2010. Google Street View [En ligne]. URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Street_View . Consulté le 16 avril 2011

vendredi 8 avril 2011

Mini-essai 2 , contrepied de l’essai de Jonathan Hardy, http://paprikak.blogspot.com/2011/02/la-telephonie-3g.html


Le côté obscur de la géolocalisation


Introduction
Le mini essai de mon collègue Jonathan Hardy porte sur les téléphones mobiles, plus précisément sur les téléphones que l’on dit intelligent ou que les anglophones appellent communément smartphone ou 3G.  Il adopte le point de vue des publicitaires, est c’est clairement énoncé dans son texte, «Du point de vue d’un publicitaire, il est donc de plus en plus pertinent de développer des stratégies publicitaires sur le modèle de la téléphonie mobile. » ( Hardy, 2011; En ligne). Dans son texte Jonathan exploite le phénomène de géolocalisation pour exposer son point de vue sur la publicité et les téléphones intelligents.  Il mentionne la définition que le marketing fait de la publicité géolocalisée, « La publicité géolocalisée est une publicité dans le cadre de laquelle le message est dynamiquement affiché et personnalisé en fonction de la localisation de l’individu exposé au message ou en fonction d’un lieu qui intéresse cet individu. » (Définitions marketing, 2010) . Il élabore les nombreux avantages de l’utilisation de la géolocalisation en publicité.  Il dit ceci par rapport à l’avantage de la géolocalisation , «Qui plus est, du point de vue d’un publicitaire, c’est la façon rêvée d’annoncer! Vous savez où se trouve votre clientèle, vous savez quel type de consommateur il est grâce aux informations collectées sur son mobile, il ne vous reste plus qu’à lui envoyer un message ultrapersonnalisé au bon moment.» ( Hardy, 2010 ; En ligne). Le point de vue de Jonathan laisse croire que le téléphone mobile est rendu la manne pour les publicitaires et que la géolocalisation est le  moyen le plus efficace de rejoindre et cibler les gens.

L’essai qui suit va plutôt se pencher sur le point de vue du public afin de faire un contrepied à l’article de mon camarade de classe. Les nouvelles technologies peuvent entrainer plusieurs réactions et plusieurs points de vue différents. Voilà donc mon point de vue face à la téléphonie 3G et à l’utilisation de la géolocalisation perçu par le public.

Point de vue

Selon moi,  la publicité sur téléphone mobile par géolocalisation n’est pas a priori une façon rêvée d’annoncer un produit. Ce phénomène permet de savoir où on se trouve et il nous envoie par SMS ou par message privé des rabais ou des offres des endroits avoisinant l’endroit ou l’on se trouve. Il suscite selon plusieurs experts très peu d’attention pour ne pas dire dérange, son public cible. En effet selon Kristina Heinonen et Tore Strandvik, « Compared to traditional direct mail and commercial email communication, the responsiveness to mobile marketing was considerably lower. »( Heinonen & Strandvik,2010 : En Ligne)  Toujours selon eux, « The findings indicated that the responsiveness was lower in the mobile channels than for commercial email communication. One reason for this may be that consumers have only limited experience of marketing communication to digital channels, especially concerning commercial SMS-and MMS-messages. However, SMS communication was considered the most disturbing channel. Marketing communication as MMS was interestingly enough perceived as more appropriate than SMS communication. However, there were still more negatively responsive respondents to MMS compared to email communication. One explanation for high digital channel disturbance may be that consumers are not able to notice that the communication is commercial until opened. Traditional direct mail is in this respect more obvious as it is visually apparent that it contains other that personal messages. »( Heinonen & Strandvik,2010 : En Ligne) Le message publicitaire sur téléphone intelligent ( marketing mobile), dérange le récepteur par sa transmission. C’est un facteur important si on prend en compte qu’il est perçu négativement de son public cible.

Le phénomène de géolocalisation  est intéressant en soi, mais pour qu’il fonctionne, il faut que les gens téléchargent et installe l’application sur leur mobile. Il faut également que le client donne son autorisation afin de recevoir les détails des endroits à proximité d’où il se trouve. Toute personnes qui n’aime pas recevoir des publicités et qui est conscient qu’un des buts premiers des applications telles que foursquare est de faire de la publicité, n’optera pas pour ce genre d’application. De plus, la navigation que l’on fait avec un téléphone mobile n’est pas comparable à celle faite avec un ordinateur. Généralement, une personne qui navigue avec son téléphone mobile veut avoir un résultat rapide. Il n’accorde aucun temps et aucune attention aux publicités. Selon le site internet ideodose,  le temps de consultation est, «la mémoire de traitement de l’information et la durée des batteries étant plus faibles sur les téléphones portables que sur les ordinateurs, cela a un impact sur le temps de consultation de l’information. L’internaute a besoin d’une information ciblée sans artifice d’affichage (qui consomme du temps de calcul sur son téléphone portable. » (Guillou,2009 ; En Ligne)

Ce même phénomène est pour plusieurs experts une violation de la vie privée. En effet, le but premier de la géolocalisation est d’entrer les données d’une personne et de le traquer en tout temps. La géolocalisation est une technologie qui donne l’impression à son client d’être suivi en permanence, un peu comme le film, le show Truman sauf que c’est vous le personnage central de l’histoire. Grâce à cette technologie, on vous suggère ce que vous aimeriez  tout dépendant de l’endroit ou vous vous trouvez. Selon la commission nationale informatique et liberté, «Les risques sur la protection de la vie privée peuvent être absolument immenses», a expliqué dimanche Alain Pannetrat, expert en technologies de la Cnil. «Dans un an, on pourra dire que vous étiez dans tel endroit à proximité de telle personne.»  De plus, ce qui est inquiétant pour le public, c’est que les géants internet ne rendent guère de compte sur les millions de déplacements enregistré jusqu’à ce jour. (Gabizon, 2010; En Ligne)

Contre exemple réel

Voici un exemple réel des dangers de l’utilisation de la géolocalisation tel que vu précédemment dans le texte. Selon Thierry Lévêque , «La Commission nationale informatiques et libertés (Cnil) a infligé une amende de 100.000 euros au géant de l'internet Google pour avoir capté des données personnelles d'internautes sans leur autorisation ». ( Lévêque, 2011 ; En Ligne ) Depuis 2007, Google se servait de Google car (voiture) pour capter des images de rues et d’édifices du monde entier pour son Google Streetview. En France on s’est rendu conte que les Google cars interceptaient des données privées sur les gens via le système Wifi. Selon Monsieur Lévêque, «En 2009 et 2010, la Cnil dit avoir constaté que ces véhicules captaient aussi des données circulant par Wifi, l'internet sans fil, à l'insu des personnes concernées, des identifiants, mots de passe, données de connexion et échanges de courriers électroniques contenant des informations privées. Ceci permet à Google de développer des données de géolocalisation très performantes, mais cette pratique est illégale. » ( Lévêque, 2011 ; En Ligne ) Un peu troublant comme méthode et cet exemple vient démontrer a quel point le phénomène de géolocalisation peut avoir des effets négatifs sur le public, car sans que les gens sans rendre conte on a accès a plein d’information sur eux.




En Conclusion

Cette technologie qu’est le téléphone intelligent, plus particulièrement la géolocalisation, est-elle vraiment une bonne innovation? Est-elle vraiment bonne pour le domaine des communications publiques? Le fait que les gens peuvent percevoir ce phénomène d’une façon négative,  qu’ils doivent obligatoirement l’installer ou l’activer pour recevoir de la publicité et que c’est une atteinte à leur vie privée sont des facteurs qui font en sorte de remettre en question l’utilité de la géolocalisation pour son public. Il y a encore bien des choses à classer afin de percevoir cette technologie comme une innovation par exemple ou et qui contrôle les données enregistrées sur les gens depuis des années.  Pour être perçu comme une bonne technologie, il y a encore bien des questions qui restent sans réponses.










Bibliographie :

Gabizon, Cécilia.2010. «La géolocalisation transforme votre mobile en espion » Le Figaro. [En ligne]. URL: http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2010/08/22/01030-20100822ARTFIG00200-la-geolocalisation-transforme-votre-mobile-en-espion.php. Consulté le 6 avril 2011

Guillou, Pierre.2009. « Votre site Web sur les téléphones mobiles : un deuxième site ? » Idéose numérique pour tous. [En ligne]. URL: http://www.ideose.eu/blog/accessibilite/votre-site-web-sur-les-telephones-mobiles-un-deuxieme-site/. Consulté le 6 avril 2011


Hardy, Jonathan.2011« La téléphonie 3G», blogspot.com. [En ligne]. URL:   http://paprikak.blogspot.com/2011/02/la-telephonie-3g.html . Consulté le 6 avril 2011

Heinonen, Kristina et Strandvik, Tore. 2003. «CONSUMER RESPONSIVENESS TO MOBILE MARKETING». Stockholm Mobility Roundtable, Stockholm .[En ligne]. URL:   https://docs.google.com/viewer?url=http://inderscience.metapress.com/index/73GU4702X477VN77.pdf . Consulté le 6 avril 2011

 Lévêque, Thierry.2011 «Amende en France pour Google pour violation de la vie privée»Reuter France.[En ligne]. URL:   http://fr.reuters.com/article/technologyNews/idFRPAE72K0KI20110321?sp=true. Consulté le 6 avril 2011

mardi 5 avril 2011

Billet 4 : module 12 : Visitez un site web citoyen autre que « CentPapier », présentez-le à vos camarades. Discutez de sa position sur l’échiquier « politique ».

Il y a de plus en plus de médias citoyens sur internet. Celui dont j’ai décidé de vous parler est AgoraVox. Ce média fut fondé en mai 2005 par  Carlo Revelli avec la participation de Joël de Rosnay. Selon leur site internet, AgoraVox ce décrit comme ceci, «AgoraVox, est un média 100% citoyen et 100% participatifs. AgoraVox permet de vous exprimer et de vous informer autrement. Le site AgoraVox est géré par la Fondation AgoraVox, reconnue d’utilité publique. Ses principales missions sont l’information à l’égard du public et le soutien à la liberté d’expression. » ( AgoraVox, 2005 ; En Ligne )

Le site AgoraVox prône le prolétariat. D’ailleurs Joël de Rosnay à écrit un livre sur le prolétariat en collaboration avec Carlo Revelli. Voici donc ce qu’ils pensent qui résume clairement leur site internet, «“Professionnels amateurs” (ou “pro-ams”), ils utilisent pour cela des outils analogues à ceux des professionnels et facilement accessibles sur Internet. Il s’agit d’usagers, d’internautes, de “blogueurs”, de citoyens comme les autres, mais qui entrent de plus en plus en compétition avec les infocapitalistes traditionnels, auxquels ils ne font plus confiance, pour s’informer, écouter de la musique, voir des vidéos, lire des livres ou communiquer par téléphone, cela en raison des coûts trop élevés des produits et services proposés et de leur accès difficile pour les moins favorisés. »( De Rosnay, 2005 ; En Ligne ) Toujours selon de Rosnay, « La production massive et collaborative par ce nouveau prolétariat, poursuit de Rosnay, représente une révolution aussi importante que celle du début de l’ère industrielle symbolisée par la machine à vapeur, puis par la mécanisation et l’automatisation intensive. Aujourd’hui, grâce aux nouveaux outils de pouvoir des prolétaires, s’appuyant sur le numérique et l’Internet, cette révolution est encore plus rapide et prend de court les pouvoirs en place. Certes, “l’empire contre-attaque”, mais avec des moyens répressifs, juridiques, ou de propagande médiatique, inadaptée. »( De Rosnay,2005; En Ligne)

Bien qu’il laisse libre cours aux citoyens d’écrire, les articles sont aussi contrôlés par des modérateurs qui vérifient la qualité des articles. Sur le site d’AgoraVox ont dit ceci à propos de la politique éditorial de modération, «. Cette modération a pour fonction principale de filtrer les articles qui ne rentrent pas dans le cadre de la politique éditoriale (les articles commerciaux, les simples dépêches d’actualités copiées, les positions très provocatrices, les diffamations volontaires ou involontaires, etc.), et de garantir par là même une qualité d’information argumentée et une expression citoyenne. » ( AgoraVox , 2005 ; En Ligne)

En conclusion, AgoraVox est un très bon exemple de média citoyen contrôlé qui prône le prolétariat.



Bibliographie :

AgoraVox.2005. AgoraVox , le média citoyens. [En ligne]. URL: http://www.agoravox.fr/qui-sommes-nous/ Consulté le 5 avril 2011

De Rosnay, Joël. 2005.  LA RÉVOLTE DU PRONÉTARIAT, Des mass média aux média des masses. [En ligne]. URL: http://www.pronetariat.com/livre/ . Consulté le 5 avril 2011

dimanche 3 avril 2011

Billet 3 module 11 Trouvez des exemples d'utilisation des technologies à des fins publicitaires et présentez-les à vos camarades sur le babillard.


L’avancement technologique ne cesse de nous surprendre. Les possibilités qu’offre internet pour la diffusion ou la création de nouvelle publicité sont immenses. On peut très vite pensé au nouveau phénomène de géolocalisation ou pour les plus familiers le check-in qui consiste a dire a quel endroit on se trouve. Selon Wikipédia, la géolocalisation, « est un procédé permettant de positionner un objet (une personne...) sur un plan ou une carte à l'aide de ses coordonnées géographiques.
Cette opération est réalisée à l'aide d'un terminal capable d'être localisé (grâce à un récepteur GPS ou à d'autres techniques) et de publier (en temps réel ou de façon différée) ses coordonnées géographiques (latitude/longitude).»
On se sert beaucoup de cette technologie pour faire de la publicité. Une personne n’a qu’à faire un  check-in  à un endroit pour ensuite recevoir des offres de rabais des boutiques qui se trouvent à proximité. Au mois de février dernier le bar le boudoir de Québec proposait a ses clients de checker in a son établissement et proposait a chaque personne qui utilisait cette méthode un très beau rabais sur l’alcool.
 Une autre technologie comme la vidéo virale est très courue sur internet comme nouvelle technologie pour faire la publicité de différents produits. En 2010 la compagnie Doritos en collaboration avec la chaine de télévision musique plus proposait aux gens du Québec de créer leur propre publicité afin de trouver la nouvelle saveur de ses croustilles.  Il invitait les gens à publier des vidéos sur le populaire site YouTube ainsi que les partager. Le site de doritos disait ceci sur ses règles du concours sur son site internet,«Il existe plusieurs types de vidéos virales. Celle que tu vas concevoir doit, d’une manière ou d’une autre, présenter la nouvelle saveur inconnue II de Doritos®. Tu dois également t’assurer que ta vidéo ne dure pas plus de 60 secondes et qu’elle respecte les règles générales de sécurité, de moralité, de décence et de légalité.» La vidéo qui avait le plus de visionnement sur YouTube remportait le concours.


Voici donc deux beaux exemples de différentes nouvelles technologies utilisés à des fins publicitaires.


Bibliographie :

Doritos Viralocity. 2010. [En ligne]. URL : http://www.doritosviralocity.ca/. Consulté le 3 avril 2011.

Wikipédia. 2011. Géolocalisation. [En ligne]. URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9olocalisation. Consulté le 3 avril 2011